Le koala ou le paresseux Australien est une espèce de marsupial arboricole. C’est-à-dire, que comme le kangourou son enfant grandit dans la poche avant de sa mère, mais celui-ci vit dans les arbres.

Le koala vit sur la côte est de l’Australie, on peut aussi le voir dans le sud. Dans les états du South Australia, du Victoria, le New South Wales, et du Queensland.

Le koala est, avec le kangourou, le symbole de l’Australie.

Le koala se nourrit exclusivement de certaines espèces d’eucalyptus.

Paradoxalement, les feuilles d’eucalyptus contiennent beaucoup de toxine. Le koala dort environ 19 h par jour, pour lutter contre ses toxines. Certains diront qu’il est shooté à la feuille d’eucalyptus, mais c’est une légende.

Vous verrez sûrement les koalas comme sur la photo, ci-contre. En boule, en train de dormir. Même, en dormant, ils restent mignons.

Nos premiers koalas

On a pu voir notre premier koala sur la Great Ocean road. Vous pouvez relire l’article à cet endroit.

Nos autres rencontres

Nous l’avons également revu dans la réserve de Tower Hill pas très loin de la Great Ocean Road.

Par la suite, nous n’avions pas vu de koala pendant de longs mois. En effet, les zones que nous avions traversées sont trop arides et il n’y pas ou peu d’eucalyptus à Koala.

Nous en avions vu ensuite, sur la côte est. Sur Magnetic Island, où il est très facile d’en voir. Nous avons même eu la chance de voir une maman avec son bébé ! Adorable ! Claire a totalement craqué.

Claire a également pu profiter plus longuement de ce curieux animal lors de son séjour dans un refuge animalier à Gympie. Elle y est restée un mois comme bénévole. Ce fut une expérience riche en découverte et magique qu’elle vous racontera dans un article futur accompagné de nombreuses photos !

Où voir les koalas

Dans le south Australia, il y a une densité de Koala dans les environs d’Adélaïde, il est possible d’en voir, mais je ne sais pas trop où exactement.

Dans le Victoria, un certain nombre de Koala sont présents sur les petites îles comme French Island, Raymond Island et Philip Island. Il est également possible d’en voir vers le Wilson Promontory. Nous pensions en avoir vu le soir en revenant à notre free camp. Cela avait été rapide, nous n’en sommes pas à 100 % sûr.

Dans le Queenland, il est également possible d’en voir à Noosa. Le jour où nous avons fait la visite, nous n’en avons pas vu. Le centre touristique peut vous renseigner s’il est possible d’en voir le jour de votre visite.

Dans le New South Wales, il y a beaucoup d’endroit où ils sont présents. Il faut avoir l’oeil pour les voir. Il y en a vers Byron Bay, Port Macquarie et pleins d’autres endroits. Vous verrez facilement les panneaux sur la route, mais lui un peu moins.

Le méga incendie

J’en profite ici, pour faire mon premier article écologique.

A l’heure, où j’écris cet article un méga-incendie ravage l’Australie dans le sud-est. Et celui détruit tout l’écosystème. C’est un véritable massacre.

Les chiffres actuels parlent d’un milliard et deux cents millions d’animaux morts. La moitié de Kangaroo Island près d’Adélaïde a brûlé. Un certain nombre d’espèces animale et végétales endémique de cette île aurait disparu.

Les principales victimes sont les koalas. En effet, ils restent accrochés aux eucalyptus, pensant être en sécurité. Malheureusement, les flammes et la fumée finissent par les tuer.

Plus de 60 000 koalas morts, c’est une hécatombe, surtout quand on sait que c’est une espèce fonctionnellement éteint. Il n’en reste maintenant plus que 6000.

Je me permets de rappeler que cela est dû au dérèglement climatique, lié à l’activité humaine. Pensez-y quand vous consommez de façon frénétique.

Face à l’urgence climatique, nous devons tous agir vite dans l’espoir de faire sauver le reste des êtres vivants.

Le dropbear

Le dropbear est le cousin du koala. Celui-ci n’est ni gentil, ni mignon. Ils mangent les touristes qui se perdent dans les forêts. On a très peu de photos de ces animaux démoniaques.

Vous aurez bien sûr compris, le dropbear est une légende au même titre que le yéti. 😉

Après cette note, triste nous vous emmènerons dans notre prochain article aux grampians