Lors de notre helpx nous avons profité pour visiter de belles choses autour d’Espérance : la great ocean drive et Lucky Bay l’une des rares plages en Australie, où l’on peut y voir des kangourous. En plus, la plage en elle-même est absolument magnifique !

La great ocean drive d'Espérance

La great ocean drive d’Espérance, c’est un peu comme great ocean road, mais en beaucoup plus petit.

Il s’agit d’une boucle d’une quarantaine de kilomètres qui fait le tour des plus belles plages d’Espérance. On a pu faire le tour en une après-midi, en prenant notre temps.

Le chemin nous faisait faire des arrêts tantôt en haut d’une colline, tantôt directement au bord de la plage. Chacune de ces plages était plus belle les unes que les autres. Les couleurs étaient juste magnifiques.

Le chemin nous faisait faire des arrêts tantôt en haut d’une colline, tantôt directement au bord de la plage. Chacune de ces plages était plus belle les unes que les autres. Les couleurs étaient juste magnifiques.

Un panneau de la plage Picnic beach, indiquait « attention requin ». C’était la première fois que l’on voyait un tel panneau. C’est une des beautés de ce pays, les animaux peuvent être aussi dangereux dans l’eau que sur la terre.

Après la série de plages, la great ocean drive nous amène dans les terres, vers un lac d’eau salé qui est censé être rose. La météo n’était pas avec nous, de ce fait, l’eau n’était pas vraiment rose.

Cette région de l’Australie était connue pour ses nombreux lacs aux couleurs étonnantes. Nous savions que nous aurions d’autres occasions d’en voir.

Sur la fin de la boucle Claire à même pu voir des Cacatoès à rectrices blanches, espèce endémique du sud-ouest de l’Australie, en train de manger dans un arbre. 

Cap le grand

La plage de Lucky Bay se trouve dans le parc national du Cap Le Grand (Cape Le Grand national park). Demander à un Australien, de prononcer « le grand », avec l’accent, c’est vraiment mignon.

L’accès aux parcs nationaux dans le Western Australia peut-être vraiment coûteux. A notre époque, c’était 15 AUD par véhicule et par jour à chaque visite. Et vu le nombre de parcs dans cet état, il devient vite rentable de payer un abonnement annuel, qui coûte 120 AUD (après 9j passé dans un parc national, il devient rentable, on ne sait pas posé la question longtemps. Il existe un pass à 60 AUD valable un mois également, si vous prévoyez une courte visite dans le Western Australia). Le passe est valide pour le véhicule, il est donc toujours possible de revendre le passe avec votre voiture.

Nous n’avions pas pris le temps de vraiment visiter ce parc. Je peux juste vous dire que le parc est vraiment magnifique et montagneux. Nous l’avons traversé rapidement pour nous rendre sur Lucky Bay.

Lucky bay

On arrive à un parking aménagé. On voit rapidement que c’est un lieu très touristique.

La plage, n’est pas directement visible. Il faut marcher quelques minutes et passer une dune pour y arriver.

Nous étions arrivés tardivement sur la plage, les ombres étaient grandes et les couleurs oranges et roses commençaient à arriver.

Hors du fait, que sur lucky bay on pouvait y voir des kangourous, je pense que c’est l’une des plus belle plage que j’ai jamais vue.

Si on prend un peu de hauteur, on peut dire que la plage faisait un demi-cercle. On pouvait voir au loin, sur les côtés, les petites falaises qui formaient le parc national.

La couleur de l’eau montrait la pureté de l’eau. Transparent, vert azure proche de la plage et eau bleu foncé un peu plus au large. L’eau était trop froide en ce début d’hiver, pour s’y baigner.

Les kangourous de Lucky Bay

Il semblerait que l’on ait été très inspiré d’arriver en fin d’après-midi, car les kangourous étaient de sortie sur la plage de Lucky Bay.

On en a déjà parlé dans nos précédents articles, la plupart des animaux australiens sont actifs tôt le matin et en fin d’après-midi.

Quelques kangourous étaient présents sur la plage. L’un d’entre eux était proche de nous. Ce qui a permis à Claire de le photographier.

En se baladant, le long de la plage, d’autres kangourous étaient présents. Entouré, par de nombreux touristes.

Certains touristes les touchaient et leur donnaient à manger. Alors que les gardiens des parcs ne cessent de le répéter, il ne faut ni nourrir, ni toucher un animal sauvage. Si c’est le cas, l’animal s’habitue à l’homme et il devient moins habile à survivre seul dans la nature. De plus, la nourriture humaine n’est pas du tout adapter à son estomac, cela le rend malade. 

Ravis de ce court passage sur cette plage légendaire, nous avions pu aller vers notre nouvelle destination, que nous vous raconterons dans notre prochain article : Wave Rock.