Avec Vincent et Dominique, nous avions planifié de nous rendre dans la petite ville de Stanley. Où un rocher, en bordure de falaise, surplomb la région. Une petite randonnée permet de le visiter.

C’était une journée sous le signe du vent.

« La noix » est impressionnante, on la voit de loin, depuis le chemin qui y mène.

Claire n’a pas souhaité se joindre à nous pour la randonnée pour préserver son genou qui avait été mis à rude épreuve la veille pendant l’ascension de Cradle Mountain. Les photos ont donc étaient faites avec mon téléphone portable.

La randonnée

La randonnée devait durer 1 h. Elle fait 2,3km. Mais la montée n’a duré que cinq minutes. Elle était extrêmement raide. Il fallait monter près de 50 mètres en quelques pas.

Le reste, est une balade qui nous promène d’un bord à l’autre de la falaise.

Les points de vue étaient jolis. J’ai trouvé cette visite décevante. Est-ce parce que comparer à cradle moutain, tout parait insignifiant.

Il y a quelques points de vue intéressant que j’ai pu apprécier.

Le premier, celui où l’on voit le petit port de la ville de Stanley, ainsi que celui où l’on a la vue sur la mer, qui se brise en fine lame sur la plage.

Le dernier passage du chemin, se fraye un chemin à travers la fôret. L’endroit reflétait un calme relatif, par rapport au reste du nut, car on s’est retrouvé à l’abri du vent.

Le nut vue par Claire

Claire en a profité pour aller en voiture, sur différent point de vue. Elle vous raconte, ce qu’elle a vue.

J’avais lu sur Internet qu’il y avait une colonie d’otaries à fourrure sur un des îlots de Stanley. J’espérai pouvoir les apercevoir depuis la côte avec mes jumelles.

Ayant repéré, l’îlot sur l’application google maps, j’ai pris la voiture pour m’en approcher. Le chemin que lle GPS m’indiquait était une propriété privé. Impossible de se rapprocher de la côte. Le point de vue sur le nut est très joli et m’a évité d’y être allé pour rien.

The nuts

Je suis redescendu ensuite dans la ville et j’ai décidé d’aller au centre d’information afin de savoir s’il était possible de voir les otaries. Comme beaucoup d’endroit en Australie, elles ne sont visibles que depuis un bateau.

Je suis donc retourné sur la plage près du nut pour attendre Mehdi.

Dans le prochain nous article, nous écrirons enfin, sur notre voiture.