Mayeul fut notre compagnon de voyage pendant six semaines. Il est monté à bord à Derby. Et nous nous sommes séparés à Alice Springs. Peux-te présenter? Mayeul, 30 ans, je viens de Paris, pharmacien. De nature assez posée et aimant bien rigoler. (On confirme, on a bien rigolé lors de notre périple avec lui.) Mayeul, …
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Notre roadtrip n’était pas seulement, prendre une voiture et rouler et faire défiler des paysages divers et variés. C’est pour nous aussi, un moyen de recontrer des personnes à l’autre bout du monde.
Mais cela n’est pas aussi facile que l’on pensait. Et nos envies de faire des rencontres fût gêné par plusieurs facteurs, que voici :
La barrière de la langue : Notre anglais, surtout au début, était difficile. Mon accent français est vraiment difficile à comprendre. Les anglophones ont tendances a parler vite. De ce fait, il est compliqué d’avoir une discution autre que professionnelle. Pour sympathiser, c’est compliqué.
L’âge : Beaucoup, de nos ressortissants, sont jeunes et de ce fait n’ont pas les mêmes centres d’intêrets que nous. A savoir, ceux qui ont entre 18 et 25 ans, veulent surtout faire la fête. Nous avons toujours dû mal à comprendre l’intérêt de faire 17 000 kms pour boire et fumer. Surtout lorsque l’on connaît, le prix de l’alcool et de la cigarette en Australie. Ces produits sont surtaxés. Ainsi un paquet de cigarette coûte 30 dollars et une bouteille de vin 30 euros. Ils sont donc rapidement contraint à voler ou avoir des méthodes douteuses pour économiser de l’argent. Même leur comportement au travail reste très immature. Les français ont mauvaises réputations, en Australie, par leurs fautes.
Les couples : Nous avons rencontré un certains nombres de couple de français. En général, ils étaient plus agées et plus mature que le groupe de jeune. Pour certains, on avait les mêmes centres d’intérêts. Le problème c’est qu’ils avaient tendance à vouloir rester entre eux et ne pas se mélanger aux autres. On avait de bonnes relations aux travails avec eux. Mais pour passer des soirées ou aller pêcher ensemble, c’était pas possible (oui, oui vous avez pas rêvé, nous avons pêché, on vous racontera :))
Les amis : Pour finir, le dernier groupe de personne qui semble dificilement approchable sont les groupes d’amis. En général, ils sont venus à deux ou plus en Australie, et semble vouloir rester entre-eux. Où tout du moins, ils semblent pas enclin à vouloir traîner avec un autre couple.
Malgré, toutes ces difficultés nous avons fait des rencontres qui comptes. je pense à Darrany et Vincent, Jérôme ainsi que Juliette et Pierre. Les rencontrer, nous avait remonter le moral, et les voir partir, nous a rendu triste. J’espère pouvoir vous les présenter bientôt.
Vincent et Dominique
Ils sont le premier couple, avec qui on s’est liés d’amitié en Australie.